Qui n’a pas un jour annulé, à contre cœur, un voyage en avion à cause d’une météo un peu juste pour du VFR* ?
Quel pilote n’a pas envie de percer la couche qui cache ce soleil si précieux pour notre activité ?
Depuis quelques années, il existe une formation crée par la direction générale de l’aviation civile pour permettre aux pilotes privés de voler en condition IFR* sans pour autant passer LA qualification des pilotes professionnels.
Pour pouvoir atteindre cet objectif, il faut satisfaire à un examen théorique divisé en trois modules puis effectuer au minimum 40 heures de vols en instruction IFR pour pouvoir se présenter au final à l’examen pratique.
Avec trois avions équipés IFR, cette qualification peut être dispensée au sein de l’A.C.D.I.F. avec le support des centres de formations Aéro Pyrénées ou Trimaille (simulateur et vols de validation des acquis)
Vous êtes déjà pilote et tentés par l’aventure, n’hésitez pas à vous renseigner à l’aéroclub (lire aussi notre post sur le sujet en cliquant ici)
* Le vol à vue est la façon la plus simple de voler, la plus libre aussi, où il s’agit simplement de voir et d’éviter. Ce mode de pilotage n’est autorisé que sous certaines conditions de visibilité, de base des nuages et de couverture nuageuse et il est réglementé par le VFR (Visual Flight Rules). C’est la technique qui nécessite le moins d’instruments et la première technique à avoir été utilisée au début de l’aéronautique. Il s’oppose aux règles de vol aux instruments, ou IFR (Instrument flight rules), qui ne nécessite pas de visibilité extérieure |